Webmarketing=marketing digital ?
Dans un contexte où tout est connecté, la distinction est peu importante, mais pour la forme : le marketing digital utilise la totalité des supports numériques alors que le webmarketing ne concerne que les moyens et actions liés au web
#1Il n'y a pas que Google et Face Book dans le digital !
Le Webmarketing est l’ensemble des techniques «marketing» et publicitaires utilisées dans un environnement Internet. En voici les principaux leviers actuels : le référencement naturel ou payant, le display, l’e-mail marketing, les réseaux sociaux, le retargeting, les comparateurs de prix et les affiliations, les places de marché, le mobile (m-marketing), les relations presse et la promotion des ventes (jeux-concours, coupons, etc.). La nouveauté si vous avez déjà intégré une forte culture marketing communication dans votre management provient principalement des données «techniques» qui sont centrales dans le Web. Si nous devions intellectualiser nous dirions qu’à l’instar de la Trinité, technique, contenus et mesures sont consubstantielles du Webmarketing. Ajoutons à cela les légions de métriques et indicateurs clefs de performances qui demandent pour être bien utilisés une compréhension certaine des mécanismes numériques. La prochaine révolution annoncée est bien entendu l’IA et les objets connectés qui devraient enrichir le chapitre étude marketing comportementale, mais nous aurons l’occasion d’aborder ces sujets dans une séquence dédiée.
#2Avec le webmarketing, les métriques sont légion
Dans la série test en tout genre vous pouvez regarder par exemple du tout en un comme https://www.dareboost.com/ ou https://www.site-analyzer.com, etc. Attention, ces services freemium ou gratuits cherchent à vous vendre du service ou de l’abonnement. Vous pouvez regarder aussi les indicateurs de performance W3c, le «page speed» de google, et si vous en voulez d’autres, ce blog en fourmille https://korben.info/. Attention, sur des petits trafics et des hébergements mutualisés, les métriques sont instables selon hébergeur, le trafic, etc. Par ailleurs, il est très facile et peu onéreux de fabriquer des visites, des clics et d’autres indicateurs. Ceci dit, il ne faut pas les ignorer non plus, car si le téléchargement de la première page est vraiment trop long, selon le public on perd l’internaute. Attention à ne pas faire de la science intégriste et penser que les données chiffrées sont suffisantes à la compréhension de phénomènes complexes sous prétexte qu’elles sont utiles souvent et nécessaires parfois. Les indicateurs d’audience sont également au centre de la réflexion Webmarketing. .
#3La course à l'audience
Dans la série analyse d’audience Google Analytics est incontournable dans les outils «site centric», mais à prendre également avec certaines réserves particulièrement pour les sites au trafic modeste. Ce n’est pas la seule solution de mesure d’audience, des organismes d’études comme Médiamétrie fournissent des données «user centric» plus «opérationnelles» et «parlantes», mais payantes http://www.mediametrie.fr/, votre hébergeur propose également des statistiques d’audience souvent sans filtres, les robots et autres joies du Web y sont comptabilisés, les datas venant du fichier «log» du serveur.